It was overstuffed with some awkward introductions and anxiety over first impressions, and because of that sometimes a little boring. ... The premiere is often very fun, especially when Handler’s eye-roll-driven plain-talking sense of humor slips in off the cuff. (At one point she laughs directly into Pitbull’s face.) But it didn’t probe in the way we’ve been sold, and still expect from future episodes.
If Chelsea does anything new, it's the same new thing every show has been forced into, now that stars can skip talk shows and use social media to talk directly to fans.
There was no follow-up. There was no deeper layer. There was just an inexplicable musical guest, on stage talking over a few repeated chords rather than providing a full-out, artistic performance. Why? Well, "Chelsea" is still figuring that out.
Based only on the sample size of two episodes, Chelsea is remarkably unviral. The first episodes have a couple of pretaped sketches that are varying degrees of bad. ... Handler has a lot of celebrity friends, but even her interviews with them were flat.
Perhaps some day Chelsea will inspire a fascinating intellectual discussion about the perils of noisily promising something new on the late-night scene, then delivering the TV equivalent of an ancient burlap grocery sack: a good idea in its infancy, perhaps, but now on the brink of everything imminently falling out of the bottom with a messy splat.
Handler has said she wanted to move away from the jokes she used to make on E!’s Chelsea Lately about banal celebrity culture, and so on Chelsea she makes banal political jokes about politicians.
Netflop se lance dans le « talk show » avec une jolie milf à la barre, dénommée « Chelsea ». Nous, on a Hanouna, aux Etats-unis et dans le reste du monde pour les abonnés Netfail, ils ont « Chelsea ». Notre blonde commence toujours par égréner quelques conneries pendant quelques minutes en guise d’apéritif je présume, le temps de lancer l’émission.Elle balance cependant quelques gros mots (toujours dans son anglais américain sous-titré en français), ce qui lui arrive d’ailleurs tout au cours de l’émission en présence des invités ou de mini-reportages censés être ‘drôles’ (?!). Les invités qui s’avèrent souvent être des ‘stars’ se laissent aller également à des écarts de langage, entraînés dans le flux incessant de conneries que débite sans s’arrêter **** fait, pendant chaque ‘épisode’ (trois par semaine et j’en ai vu trois jusqu’ici et n’en puis déjà plus) on cherche et recherche des blagues sur les blondes afin de tenir le coup. On se fait une liste et le temps de la faire, l’épisode est déjà fini (une demi-heure environ). A part ça, je ne sais pas trop quoi en dire : exceptés les gros mots et l’apologie (dé)masquée de l’usage de produits stupéfiants à intervalles réguliers, excepté le fait qu’elle fait l’andouille plus vraie que nature, il n’y a rien à en dire.Quand je regarde Hanouna, j’ai l’impression de devenir con à chaque seconde regardée ; quand je regarde Chelsea, j’ai l’impression de rien. Mais elle est mignonne quand même, cette gourdasse.